Le débat n’est pas à la récupération du monde agricole. Il est devant le fait indiscutable que l’argent à remplacé le fouet. Nous avons affaire un système esclavagiste qui trucide les plus faibles. La campagne bretonne n’a pas vocation à devenir « le camp de la mort » dans l’indifférence des citadins, ou pire de leurs proches voisins.
Ne « pas réussir » dans un concept de dualité où la barre n’est pas au même niveau pour tous, car il y a d’insolents favoritismes qui conduisent à des spoliations monstrueuses dont le but déjà connu et reconnu ailleurs de « démembrer » la Bretagne pour la jeter dans le cercle étroit des spéculateurs assassins.
Le maïs est donc le pire poison aussi bien pour le sol que pour les hommes, il est responsable de la desertification rurale et des drames de tous ce qui est « déraciné » dans le sens noble du terme. La preuve n’en est pas que par les suicides, on ne parle jamais des divorces dont les gosses se retrouvant sous le giron de la fumeuse « aide sociale » qui empile des dossiers sans rien résoudre, favorise la délinquance.
Traiter les causes plutôt que de casser le thermomètre consisterait à conduire une véritable révolution agraire moderne, réinvestir les campagnes, re-sociabiliser les secteurs défavorisés plutôt que financer des banlieues sordides, et surtout produire de la qualité, que de la qualité, justement payé à l’effort dépensé. C’est pour moi la seule façon de stopper hémorragie qui conduit à tous ces drames.
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